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Changer de thérapeute : l'incertitude et les questions sans réponses


Bonjour et bienvenue dans ce 22ᵉ épisode du "Journal d’une agoraphobe" !



Je vous rappelle que ce mois de janvier, je participe au défi JANVOIX, ce qui signifie un article par jour, chaque article devant respecter une contrainte spécifique. Mais, bien entendu, mon objectif principal reste inchangé : vous partager mon parcours de guérison pour apporter, je l'espère, des pistes aux personnes concernées par l’agoraphobie, et contribuer à libérer la parole sur un sujet qui stigmatise encore bien trop de personnes.


J’intègre donc ce défi dans mon parcours chronologique de guérison ce qui est pour moi le plus important dans le but de poursuivre ma mission.


Hier nous avons abordé la croyance limitante selon laquelle on ne change pas de thérapeute en cours de route… et bien je l’ai fait, un soir après plusieurs séances qui ne satisfaisaient certainement ni ma thérapeute ni moi, j’ai pris la décision de ne plus remettre les pieds dans son cabinet.


Mais une fois cette décision prise des dizaines de questions se sont bousculées dans ma tête, des questions auxquelles je n'avais pas les réponses.


Voici un aperçu de ce qui m’a traversé l’esprit :


  • Que fait-on lorsqu'on décide de ne plus voir son thérapeute ?

  • Sans ma psy, quelles sont les autres options pour avancer dans ma guérison ?

  • Si je dois changer de thérapeute, comment choisir le bon ?

  • Il existe une multitude de thérapies différentes. Comment savoir laquelle me correspond ?

  • Quels critères permettent de savoir si un psy fait bien son travail ?

  • Y a-t-il des critères mesurables pour évaluer l’efficacité d’un psy ?

  • En tant que patient, nous nous remettons constamment en question, mais les psychologues se remettent-ils en question eux-mêmes ?

  • Un psy reste-t-il toujours dans le même état d’esprit lorsqu’il reçoit un patient ?

  • Est-il possible d’évaluer l’efficacité d’une méthode thérapeutique ?

  • Certaines méthodes sont-elles plus adaptées à certains types de patients qu’à d’autres ?

  • Un psy peut-il se rendre compte qu’une méthode qui fonctionne avec la majorité de ses patients n'est pas adaptée à l’un d’entre eux ?

  • Si c’est le cas, un thérapeute peut-il adapter sa méthode en cours de route ?


J’étais littéralement perdue, noyée dans un flot de questions, et sans réponses claires. Je savais que j'avais besoin de trouver une méthode et une stratégie pour m’en sortir, mais j'étais dans une totale impasse.


En fait, certaines de ces questions sont bonnes, mais d’autres… un peu moins. Le problème, c’est que je m’y suis embourbée et j'ai laissé le flot de pensées envahir mon esprit pendant un certain temps, sans passer à l’action.


Mais parfois la vie nous fait de beaux cadeaux sans qu’on s’y attende… la suite demain dans le prochain article !


N’oubliez pas, si cet article vous a plu, pensez à laisser une note, un commentaire ou à vous abonner à la newsletter. Ça m’aide énormément et ça me motive à continuer !



 
 
 

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