Et si le digital était un allié de la santé mentale ?

Bonjour, et bienvenue dans ce 41 ème article du journal d’une agoraphobe.

On poursuit ensemble le défi JANVOIX : un article par jour pendant tout ce mois de janvier avec à chaque jour une consigne particulière. La consigne du jour ? Choisir un objet significatif et raconter son histoire.

Alors, je ne vais pas faire dans l’originalité je pense, puisque l’objet que j’ai choisi, c’est mon smartphone. Oui, mon bon vieux téléphone. Pourquoi ? Parce qu’il a été un allié absolument indispensable tout au long de ma maladie.

En effet, pour moi, mon smartphone a joué plusieurs rôles essentiels :

1. Dans un premier temps il a joué le rôle d’objet contraphobique

   
   

   Au tout début, c’était presque mon talisman. Je l’emmenais partout, dans tous mes déplacements. Pourquoi ? Parce qu’il me rassurait. J’avais cette impression qu’avec lui, je pouvais appeler au secours à n’importe quel moment. C’était comme une ligne directe de sécurité, une bouée de sauvetage dans mes moments d’angoisse.

   
   

2. Il a également été LE support pour mes exercices de soin

   
   

   C’est grâce à lui que j’ai pu mettre en place plusieurs outils pour m’aider à avancer :

   
   

   • Le premier outil, la cohérence cardiaque : Je faisais (et je fais toujours !) mes exercices avec une application dédiée. D’ailleurs, si ça vous intéresse, je vous mets le lien vers un épisode où je parle plus en détail de cette pratique.

     
     

   • Le deuxième outils : Les livres audio : Abonnée à une plateforme, j’ai écouté des tonnes de livres sur la santé mentale et le développement personnel. Certains m’ont profondément aidée, et je vous partagerai les titres dans les notes de cet épisode.

     
     

   • Le troisième outil, La méditation guidée : Là encore, mon smartphone était mon guide. Ces moments de calme et de recentrage m’ont été précieux. Je vous mets un lien vers un épisode où je détaille cette pratique, si ça peut vous être utile.

     
     

   • Le quatrième outil, Les affirmations positives : Accompagnée de mon téléphone, j’écoutais régulièrement des affirmations qui m’aidaient à reprogrammer doucement mon esprit. Si ça vous intrigue, là aussi, un petit lien vers un épisode dédié est dans les notes.

     
     

   • Et enfin les recherches : C’est également sur mon smartphone que je faisais des recherches sur les thérapies, les méthodes, et les outils pour comprendre et mieux gérer mon état.

Bref, ce petit objet a été un véritable couteau suisse pour traverser cette période.

En y réfléchissant, je me demande vraiment comment on faisait avant l’arrivée des smartphones. C’est fou de penser à quel point le digital m’a servi d’outil de soin.

Évidemment, ça ne remplace pas l’interaction avec un thérapeute, mais c’est une aide complémentaire incroyable.

Et ça me fait poser une question : est-ce que les thérapeutes prennent en compte le digital dans leurs approches ? Parce que, franchement, ça mériterait d’être intégré dans les thérapies modernes, non ?

Voilà, c’est tout pour aujourd’hui. Si cet article vous a plu, pensez à vous abonner, à laisser une petite note ou un commentaire, et surtout à le partager autour de vous. Vos retours sont vraiment ce qui me motive à poursuivre ce défi un peu fou.

Merci de m’avoir lu, et on se retrouve demain pour la suite du défi JANVOIX !